La protection de la biodiversité marine comprend les trois piliers du développement durable – économique, social et environnemental. Cette diversification est essential pour le fonctionnement de la planète, qui assure l’sante et le bien-être de l’humanité, ainsi que les services d’alimentation et de climat, économiques et culturels.
Si les eaux marins reprennent le rapprochement avec la terre, leur biodiversity doivent être conserved en permanence et recoupée. Pourtant, le patrimoine marine a largement enregistré un lourd défi : les pollutions aérospatiales. Selon le ministère de l’écologie, 80 % des pollutions marins proviennent de la terre.
C’est a ce point que la convention internationale sur la diversité biologique (CDB) est influencée et contribuée. Il fournit un centre de liaison a la communauté international pour assurer l’intégration du question de la biodiversité dans toutes les affaires.
A cet occupation, le secretariat a la Convention collabore étroitement depuis plusieurs années avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture et d’autres parties prenantes pour renforcer la mise en oeuvre par les Parties a la Convention afin de mieux intégrer la biodiversité dans les secteurs de la pêche et de l’aquaculture.
Enfin, le secretariat a la Convention fournit elle une platform de débats et d’échanges sur les meilleures pratiques des différentes sectors d’action qui ont a base des approches d’adaptation écologique et écologique a chaque zone océanique du monde en utilisant l’ensemble des connaissances available. Alors, la protection de la biodiversité marine est un element stratégique du cadre mondial en faveur du développement durable.
Le gouvernement haïtien travaille sur un large éventail de projets et d’activités visant à protéger la côte et son environnement marin, notamment l’élaboration de plans d’action nationaux, la mise en œuvre d’un réseau d’aires protégées côtières (REPS), une stratégie de conservation des tortues marines, la reforestation/réhabilitation des mangroves, des programmes d’éducation et de sensibilisation à l’environnement côtier et la rédaction d’un plan d’action national pour le tourisme durable. Le ministère haïtien de l’environnement a dirigé le projet FoProBiM, un projet qui engage les communautés et les autorités locales dans la conception d’un plan de gestion participatif pour une zone marine gérée localement.
Pour réussir dans ces responsabilités, il faut un engagement fort de tous les niveaux de gouvernement, des ONG et des autres parties prenantes. Un pilier central de cette stratégie est la mobilisation de tous les acteurs, en particulier ceux qui sont directement touchés par la dégradation des écosystèmes côtiers.
Par exemple, au cours de la dernière décennie, le ministère haïtien de l’environnement a travaillé à l’élaboration du plan d’action national pour l’environnement (PNAE) et à la mise en place d’un réseau de zones côtières protégées. Il a également mis en œuvre une série de projets pour différentes institutions, notamment la BID, le PNUE, le PNUD, l’OEA, le Fonds Whitley pour la nature, le ministère haïtien de l’Environnement et The Nature Conservancy.
En outre, le ministère haïtien de l’environnement a développé un programme d’éducation environnementale appelé NEAP in-depth qui vise à accroître la sensibilisation aux questions côtières et marines à tous les niveaux de la société. Cette initiative, qui a permis de promouvoir l’éducation à l’environnement, est reproduite dans tout le pays par d’autres ministères et organisations.