Le tourisme en mer, qui représente une source de revenu indispensable pour les insulaires et les régions cotieres, est aujourd’hui soumis à une concurrence croissante. Il s’impose donc que les secteurs public et privé, ainsi que la société civile et les organisations internationales de développement, collaborent pour faire face au problème qui porte sur la durabilité des océans.
Selon les données récentes, les organismes internationaux de conservation des eaux reconnaissent qu’il faudra accroître la capacité nationale d’une gestion durable des océans d’ici 2030. L’objectif est d’éviter l’émergence d’un grand nombre d’impacts anthropiques sur les ecosystemes marins, notamment les écosystèmes côtiers et insulaires.
Les évaluations réalisées par l’OMT révèlent une tendance de plus en plus positive en ce qui concerne la variété des activités liées au tourisme à l’intérieur du monde. La diversité des produits d’expériences maritimes – diversification de la clientèle, de la taille des entreprises, de la quantité des visiteurs et de la manière où les visiteurs se mettent en contact avec l’océan – entraîne un renforcement de l’adaptabilité de toutes les économies marins.
Cependant, le problème demeure d’un côté aussi bien que d’autre. L’augmentation du nombre d’activités anthropiques dans le secteur marin, particulièrement les navires de croisière et la fréquentation croissante des stations balnéaires, exerce une pression d’une manière de plus en plus forte sur les populations des littoraux et des eaux.
L’utilisation de produits biologiques d’origine naturelle, en particulier le poisson sauvage et les espèces marines d’origine naturelle, contribue également à l’écologisation des océans. Les produits biologiques sont souvent utilisés à l’intérieur du système marin en tant qu’éléments nutritifs, jugés nécessaires pour la santé et la reproduction d’espèces marines.
L’émergence de ces méthodes économiquement viables pourrait réduire les coûts pour les établissements touristiques, mais aussi renforcer la capacité des pays d’atteindre le potentiel de croissance durable. Ainsi, l’utilisation de la technologie d’évaluation biologique pourrait être d’une importance majeure pour améliorer la gestion durable des océans.