L’histoire des marees noires est le premier film à écrire et à réaliser au monde concernant les catastrophes naturelles causées par une incendie matérielle. Il a donné naissance, en Europe, aux premiers politiques de prévention et de lutte contre les grandes marees noires.
Le 16 mars 1978, l’Amoco Cadiz, un supertanker battant pavillon liberien, est vide au large des cotes bretonnes, contenant près de 230 000 tonnes de petrole brut. Après plusieurs tentatives de remorquage, elle se trouve perçant et ne peut plus manoeuvrer. De ce fait, elle déboule sur la cote et d’une mer de pétrole.
A sa sortie, elle a d’énormes conséquences pour le littoral breton, où les échantillonnages de poissons et de crévettes ont été dûment touchés, tandis que les pêcheurs sont particulièrement touchés. Les opérations de nettoyage aveugles sont très coûteuses. Mais à l’époque, les représentants du secteur de la pêche et des fonctionnaires gouvernementaux ont l’assurance que la situation n’a pas portée le peuple breton à risquer de son subsistance.
Cependant, des personnes de la région comprennent très rapidement qu’ils ne seront toujours pas sûrs d’avoir un moyen de subvenir à leur manière habituelle. La communauté n’a longtemps perçu la maree noire comme un événement désastreux, mais, aujourd’hui, les locaux connaissent que la situation est encore déplorable.
Les victimes n’ont toujours pas reçu de soutien adéquat. Les pêcheurs d’autres secteurs, tels que les agriculteurs ou ceux du transport maritime, sont également touchés. L’impact de la maree noire a également d’énormes répercussions pour la société économique.
Elle a influencé la mise en place de nouvelles technologies, telles que le Glukauf, un supertanker conçu à 1885, équipé d’un double fond et de cloisons pour limiter les risques d’accidents. La Première Maree Noire a aussi influencé de nombreuses autres mesures pour améliorer la sécurité des chantiers liés à l’énergie.
La Première Maree Noire a également influencé des procédures d’urgence en matière de crises environnementales dans d’autres pays. Ainsi, la loi nationale a été enlève en 2004.
L’histoire des marees noires présente les témoignages de pêcheurs, d’employés du secteur de la santé, d’autres professionnels, ainsi que des avocats et d’autres personnes intéressées par cette question.
La Première Maree Noire a ouvert le débat sur la nécessité de adopter un autre modèle d’entreprise des compagnies pétrolières d’une manière intégrale en ce qui concerne sa responsabilité pour les effets écologiques découlant des accidents, notamment lorsqu’ils incombent à eux-mêmes à la pollution du territoire. Depuis lors, les pêcheurs, les employés du secteur de la santé, ainsi que d’autres employés et citoyens, ont demandé des changements dans cette législation. Les modifications proposées, qui ne sont pas encore exécutées, s’appliquent uniquement au nombre des accidents majeurs. La nouvelle législation prévoit la création d’un mécanisme national d’évaluation de l’environnement des chantiers pétroliers. Enfin, elle a mis en place des procédures d’urgence d’urgence, ce qui permettrait, selon les experts, de renforcer les capacités d’efficacité et de gestion.