Les repercussions de la surpeche sur les ecosystemes marins
Aujourd’hui, plus que jamais, le nettoyage de la surface des océans se fait avec des quantités immenses d’une substance naturelle appelée phosphate. Cette substance désordit, sous réserve de la présence d’autres composés biologiques, les habitats marins et les animaux qui vivaient dans ces milieux. La surpeche est un problème mondial ayant nombreuses repercussions sociales, économiques et environnementales. Le nettoyage de l’espace marin impose également des pressions sur le maintien de la biodiversité des oceans grâce à une consommation croissante de poissons et de fruits de mer dans les pays en développement.
Il est important d’établir une politique intégrée pour assurer la protection des océans. Cependant, la politique nationale n’a pas été développée à ce propos. Ainsi, les Etats et organismes internationaux de gestion des pêches devraient prendre des mesures concrètes en vue d’instaurer la protection du milieu marin.
Cependant, les communautés marins sont toujours préoccupantes par la prise involontaire des poissons, mollusques et crustaces (décès de nombreuses espèces). On compte en particulier chaque année, près de 4 300 cetaces (baleines, dauphins et marsouins) décimales de leur capacité d’adaptation et de réadaptation sont emmelees à la suite d’une pêche non déclarée, non reglementée ou illicite. On estime que l’accès à d’autres pecheurs et aux techniques modernes de chasse, ainsi qu’à la taille des navires, met particulièrement de nombreuses pressions sur les stocks et sur l’habitat.
La chalutage de fond est un autre élément essentiel des repercussions du nettoyage. Cette technique consists en la levage de vastes filets de fond d’une manière agressive et bruyante d’un côté et d’autre, amenées par une chaîne ou des rouleaux à partir du bord. L’emportement du chalut de fond, en fait, provoque des dommages considérables à la structure et aux écoulements de la mer.
Elle entraîne aussi le décès de espèces, notamment des oiseaux, ainsi que le détournement de la nourriture d’autres espèces. La pêche au chalut de fond entraîne également une perturbation des cycles biogeochimiques grâce à la remise en suspension des cristaux de carbone, notamment ceux des plateaux continentals.
La protection des zones marins qui abritent beaucoup de carbone sedimentaire pourrait réduire considérablement les risques d’ouverture de ces composés et contribuer ainsi à diminuer l’augmentation des températures et le réchauffement climatique. Cette solution pourrait également permettre d’instaurer les régions écologiquement fragiles.